Je suis un peu émotive au moment où j'écris ces lignes. L'idée de faire une série de post sur mon second séjour à Disney World me trotte dans la tête depuis les préparatifs du voyage, sauf que je ne pensais pas vivre une déprime post Disney. Je m'attendais à, évidemment, adorer mon voyage mais être heureuse de revenir dans mes affaires, retrouver mon amoureux qui m'a énormément manqué pendant cette semaine sans lui et apprécier le retour à la normale. Oh, bien sur que je suis heureuse de retrouver mon amoureux, mon meilleur ami et mon confident, il est tout ce qui manquait à cette aventure pour qu'elle soit parfaite à 100%. Ma fin de semaine de repos me fait aussi du bien après avoir passé la semaine à courir sans arrêt sans vraiment me reposer. Sauf que je ressens aussi un grand vide. Revenir de voyage, ce n'est jamais plaisant, sauf que revenir de Disney, c'est un tout autre niveau à mon avis. À Disney World, le plus gros tracas c'est de réussir à tout faire ce qui fait envie dans le temps donné. Ou peut-être de devoir choisir entre les trop nombreuses tentations de choses à acheter. Point. Ce n'est pas comme ailleurs où même si on se repose on est en contact avec la réalité. Là bas, tout est fait pour qu'on l'oublie cette réalité. Aucune ville en vue, que de beaux hôtels et des parcs d'attractions aux décors immenses, grandioses... Une immersion totale avec des effluves subtiles liées à chaque attractions, à chaque lieu, question de bien imprégner les souvenirs. Une bande sonore magique qui nous rappel notre enfance et les films qu'on aime tant. Tout est fait pour que les enfants soient émerveillés et que les adultes puisse se permettre de retomber en enfance en laissant les obligations et les tracas de la vie derrière eux aux porte de cette "ville dans une ville" qu'est Disney World.
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December 2020
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